Aujourd’hui, nous parlons du livre de Sandrine Rion, alias Cenicienta, publié en mars 2020…
Concours: cinq livres de Cenicienta sont à gagner! Inscrivez vous au tirage au sort ci-dessous. Résultat le 31 octobre!
Mise à jour du 31 octobre : Bravo à Virginie, Sophie, Sylvie, Caroline et Christèle qui ont remporté le livre de Cenicentia… Oui, oui, ça fait un peu plus que 2 gagnants! 🙂
Dans ce livre-témoignage, Sandrine nous raconte son parcours de professeur des écoles. J’ai lu ce livre il y a quelques mois et je l’avais beaucoup apprécié.
Force est de constater que plusieurs mois après ma lecture, je pense encore régulièrement à son livre. C’est pour cela que j’ai décidé d’en faire un épisode du podcast !
Dans cet épisode, je vous partage les 3 leçons que je retiens du livre de Cenicienta.
1ère leçon : L’importance du travail en équipe
Cela peut paraitre paradoxal mais, professeur est un métier solitaire. Nous sommes très souvent seuls dans notre salle de classe.
Cependant, au cours de son parcours, Sandrine a eu l’occasion de travailler en étroite collaboration avec deux collègues et de former un trio qui a généré une émulation très positive.
En lisant son livre, on ressent que cette période de sa vie professionnelle a été très épanouissante. Malheureusement, cela n’a pas duré…
2ème leçon : Rien n’est jamais acquis
Après le départ de ses deux collègues de son école, Sandrine a eu un très gros passage à vide. Parfois un changement peut vraiment nous faire perdre confiance dans notre pratique : un changement de niveau, le départ de collègues, une nouvelle école, une classe plus « difficile »…
Et pour remonter la pente, Sandrine a réappris à se satisfaire de chaque petite chose positive qu’elle voyait dans sa journée.
3ème leçon : Rome ne s’est pas construite en un jour
Si ce livre m’a tant marqué, c’est sûrement par la grande transparence dont Sandrine fait preuve. Son témoignage nous montre l’envers du décor : elle nous évoque ses réussites, ses fiertés, mais aussi tous ses doutes et ses inquiétudes.
Et c’est très rassurant!
Car quand on observe ses collègues, quand on va sur les réseaux sociaux, on a tendance à croire que tout va mieux chez les autres, que tout est parfait dans leur classe! C’est un phénomène qui est amplifié sur les réseaux sociaux et on a l’impression qu’on n’est pas vraiment à la hauteur dans notre salle de classe.
Quand on adore son métier, quand on s’y investit, on a envie de tout faire tout de suite très bien, mais il faut aussi savoir se donner du temps… Rome ne s’est pas construite en un jour!
Je vous propose maintenant de vous partager comment nous pouvons mettre en oeuvre ces 3 leçons:
- Le travail en équipe : Parfois, nous n’avons la possibilité d’échanger en profondeur avec les collègues avec qui nous travaillons au quotidien, parce qu’ils ont d’autres niveaux, parce qu’on ne se croise que très rarement, etc…
Alors comment faire?
Grâce aux réseaux sociaux, nous avons la chance de pouvoir communiquer et trouver des collègues partageant le même état d’esprit et les mêmes problématiques.
Pour cela, vous pouvez bien sûr rejoindre un groupe Facebook par exemple, mais je vous invite également à envoyer des messages privés et à construire des relations plus en profondeur avec certains collègues…
Si vous suivez Effet Eureka, vous savez que j’ai rencontré Delphine via Facebook il y a quelques mois et que depuis nous avons déjà été assez loin ensemble puisque nous avons construit une formation !
2. Rien n’est jamais acquis : C’est sûrement le point le plus difficile. Comment trouver un équilibre sur une longue durée? Comment ne pas se laisser déstabiliser face à une situation délicate?
Pour ma part, je sais que ce qui m’aide, c’est d’avoir un projet à côté de mon métier. Lorsque je vis des moments plus durs à l’école, je suis content de pouvoir me concentrer sur mon projet Effet Eureka qui m’offre la possibilité de m’exprimer autrement et de penser à autre chose que ma classe… même si je n’en suis jamais loin!
3. Pour la troisième leçon « Rome ne s’est pas construite en un jour », je cite directement le conseil de Cenicentia :
Une chose à la fois si on ne veut pas s’épuiser. Tout ne sera pas parfait la première année, ni même la deuxième ni même la troisième… en fait, jamais! Il y a toujours quelque chose à améliorer ou à tester. Et c’est aussi ça qui fait que ce métier est passionnant : on ne s’ennuie jamais.
CENICIENTA – où comment je suis devenue maîtresse-blogueuse
J’espère qu’en vous partageant ce qu’il m’a apporté, je vous ai donné envie de découvrir l’histoire et le parcours de Cenicentia. Pour commander le livre, c’est par ici.